À propos
Présentation du projet
Nous aimons beaucoup le vélo. Quand on a entendu parler des routes Euro vélo, on a vite pensé à partir loin ensemble, et Nina voulait aller en Grèce.
La meilleure route possible était la route Euro Vélo 8, alors on a eu envie d'y aller ! Mais l'idée de juste faire ce trajet ne nous a pas suffi, il manquait une dimension à ce projet, un défi en plus.
On a cherché à incorporer notre façon de penser en essayant de faire passer un message important à travers le voyage. En pensant à comment mettre en place le trajet, il y avait vite de grosses quantités de plastique qui s'accumulaient, ce qui nous frustrait.
Pourquoi pas, alors, refuser tout ce plastique ?
On veut donc essayer d'atteindre la Grèce en longeant la Méditerranée, sans utiliser de plastique, et aussi uniquement à vélo.
Une manière de voyager donc avec très peu d'impact écologique, qui pourrait inspirer de prochains voyageurs, ou même simplement les gens dans la vie de tous les jours.
Durant ce mois et demi, nous devrons donc parcourir 3250 kilomètres.
Nous visons alors de faire entre 60 et 80 kilomètres par jours, afin de réussir, avec un départ autour de juillet 2021.
L’itinéraire que nous avons choisi suivra la route Euro vélo 8 :
Nous adapterons ce rythme en fonction de notre ressenti, et essayerons de faire des journées de pause pour visiter des villes comme Venise.
Nous deux face à cette aventure
Nous sommes sportifs et ne craignons pas les kilomètres.
Mais pour mieux les enchaîner, nous nous entraînons chaque semaine, le corps entier mais surtout les jambes bien sûr.
Nous faisons déjà beaucoup de vélo, Simon va à sa faculté en vélo, 30 kilomètres aller- retour, et Nina fait 5 kilomètres par jour, avec 7 heures de football par semaine.
Mais pour compléter, nous avons des exercices en plus bien sûr...
Nina Bérard
Nina, vue par Simon
Pour moi Nina c'est un peu mon miroir. On pense pareil sur beaucoup de choses, et on se connaît plutôt bien. En fait c'est assez drôle parce qu'on se connaît depuis le CP, suite à une classe verte, et on a notre groupe d'amis depuis cette époque.
Mais Nina c'est celle qu'il faut emmener en voyage. Elle va au bout, c'est sûr. Et en plus, si ça va elle sera contente, et si ça ne va pas elle fera en sorte que ça aille mieux, alors ça ne peut que bien se passer.
Côté sensibilité, elle envoie du lourd. Je crois qu'elle ne demande que de pouvoir donner et recevoir de l'amour, au fond, et elle en sera bien heureuse. Elle a été la première à oser dire « je vous aime » à notre groupe d'amis, et elle a pleuré de joie, aussi un peu de fatigue, après notre premier voyage à vélo. C'est elle qui pense aux autres, tout le temps.
Simon Vauclare
Simon, vu par Nina
Pour moi, Simon, c'est un ami que je connais depuis le CP car on a été dans la même classe, et depuis l'âge de 6 ans il partage ma vie.
Je pense que c'est une amitié très forte qui depuis ce temps-là n'a cessé d'évoluer et de grandir avec nous. Je dirai que l’on a trois sortes de choses en commun.
D'abord, une émotion commune entre nous depuis que l'on s'est rencontré, ensuite un passé commun car on a traversé les 3 quarts de notre vie ensemble, et pour terminer, au cours de ces années, on s'est trouvé des passions communes comme le voyage et le sport.
Simon c'est mon meilleur ami, il n’est pas parfait mais m'inspire beaucoup et me donne du courage.
